CGAS de Joëlle
Cet article fait suite aux attaques qu’a reçu l’école en fin de printemps 2021. Je le repartage ici.
La liberté d’expression
Les articles qui sont partagés sur le blog de l’école, le sont à destination des adultes uniquement, et à vocation d’information.
Ne prenez que ce qui résonne à votre cœur et laissez le reste.
Le but de cet article est de rappeler que les articles partagés le sont à titre d’information et constitue l’usage de la liberté d’expression.
Des employés de l’administration ont formulé des menaces devant caméra récemment concernant des articles que je partage sur le site.
Je ne suis pas fonctionnaire, je ne suis pas payée par l’état, et l’école (au moment des faits) ne reçoit aucune subvention.
Mon silence n’est par conséquent pas monnayé, ni monnayable.
Ces mêmes personnes étaient d’ailleurs prêtes à faire des photos de l’école sans mon accord s’il n’y avait pas eu de caméra (sic « tu as vu nous sommes filmés … etc »).
Les dernières décennies ont vu la liberté d’expression, qui est pourtant un droit fondamental universel premier, bafoué au plus haut point. Les menaces, le chantage et toutes sortes de techniques de déstabilisation sont employées pour faire taire les humains. Ceci permet aux élites, les 1 % de dominer l’humanité et piller la planète. Mais dans un système victime bourreau il faut une victime, quand la victime reprend sa souveraineté et sa liberté, elle se désengage du jeu pervers, et le bourreau se retrouve tout seul et ne se sait plus où diriger sa rage qui fond alors sur toute personne qui passe.
Chacun doit prendre ses responsabilités et les assumer. Personne n’a à faire le travail des autres.
Si je partage sur les expériences vécues à l’école c’est bien pour permettre à chacun de réfléchir, de savoir de quelle manière je travaille et pouvoir faire un choix libre et éclairé.
Il n’y a pas de discrimination, ou d’exclusion, il y a une information donnée et un choix mutuel respectueux.
Je suis en droit, comme tous les êtres humains, de demander le respect, de moi-même, des enfants, du lieu, du matériel, de l’ambiance de travail.
Je n’ai pas à accepter que des enfants ou des adultes m’insultent, me manquent de respecter, soient violents en paroles ou en actes, cassent le matériel, me menacent, m’imposent des horaires ou soient violents envers les enfants.
J’ai remarqué que les enfants qui ont des troubles de l’apprentissage ont souvent de troubles du comportement et dérangent, cassent, méprisent les règles, dérangent, se moquent. Ce n’est peut-être pas systématique mais les troubles sont souvent associés à un problème de cadre parental et de règles éducatives. Et ceci n’est pas un jugement mais un fait observé objectif.
Pour qu’une société humaine évolue, il est nécessaire que chacun fasse sa part, en devenant un adulte mature, chose que la plupart d’humains ne sont pas pour le moment. En disciplinant son égo, en nettoyant ses peurs et ses blessures pour pouvoir prendre des décisions saines et libres, et pouvoir réagir en adulte mature avec son enfant.
J’invite chacun à réfléchir, à faire sont travail, et à assumer ses responsabilités et ses choix et non pas à jouer la victime, à imposer ses choix aux autres et à faire preuve d’immoralité et d’irrespect envers les autres pour retrouver la paix personnelle et communautaire.
Certaines personnes dans la société profitent du chaos, pour s’enrichir, pour augmenter leur pouvoir, réduire les libertés grâce à l’immaturité du grand nombre.
Encore une fois, il n’y a pas de cercle vicieux s’il n’y a plus de victime, s’il n’y a plus d’esclave.
Si nous n’avons pas de peurs, il n’y a pas de chantage possible.
Toute ma compassion et mon amour inconditionnel à ceux qui se réveillent, à ceux qui se sentent perdus, à ceux dont l’égo perd pied, et à ceux qui partent.
Et bon réveil à ceux qui l’ont choisi.
Joëlle GSF